4ème de couverture A Marrakech, derrière la Koutoubia
« A
lire et relire vos textes nous voici menés à l'épreuve
du
langage des regards d'été.
Il
se pose sur la page autant d'adresses au pays de l'étonnement de soi
que
d'alertes à la solitude d'être en toutes ses exigences.
Le
poème ne fleure jamais avec la nostalgie
il
convoque le jour en proie aux cicatrices
sur
cette voie d'accueil des lèvres à leur dénuement.
Ici, des arbres s'inclinent devant l'ombre bercée de rendez-vous manqués
là,
une place aux parfums de peur s'endort d'un autre monde.
On perçoit jusque dans l'exil de fragments-souvenirs
cette
errance de l'histoire d'étoile en étoile
par
la voie d'intime respiration dans la prière des mots.
A lire et relire chaque poème dans le contexte de ce qui le hante
de
tant d'absence sans résignation
on
rejoint le courage des blessures d'enfance à leur ouvert nuptial...
Le verbe dans sa délicate pose sur la page entreprend l'horizon
d'une conversation avec nos urgences.... »
Philippe Tancelin, poète-philosophe
Professeur
des Universités
Directeur
du CICEP
(4ème
de couverture recueil de Jamila Abitar - A Marrakech, derrière la
Koutoubia)
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