Chemin d'errance


Cest toute cette infirmité du cœur

à vouloir être bon qui me fait souffrir ;

Jentrevois le silence à travers la vitre,

la nature résignée mémerveille.

Elle semble embrasser lazur.

Je limplore

pour quelle me délivre de ses branches

pour me donner au divin

comme un souffle au cœur.

Je clame ton nom à la nuit

sans pouvoir apaiser ce manque de toi.

Ô poème, vide-moi de ces émotions

qui ne trouvent figure à la face du vent.

©Jamila Abitar

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LES MORTS NE SONT PAS MORTS - BIRAGO DIOP

Poème de Saïda Menebhi

A Marrakech, derrière la Koutoubia