Chemin d'errance
C’est toute cette infirmité du cœur
à
vouloir être
bon qui
me fait
souffrir ;
J’entrevois
le silence
à travers
la vitre,
la
nature résignée
m’émerveille.
Elle
semble embrasser
l’azur.
Je
l’implore
pour
qu’elle
me délivre
de ses
branches
pour me donner
au divin
comme un
souffle au cœur.
Je clame ton
nom à la nuit
sans pouvoir
apaiser ce manque de toi.
Ô poème, vide-moi de ces émotions
qui ne trouvent
figure à la face du vent.
Commentaires
Enregistrer un commentaire