A Marrakech, derrière la Koutoubia
Les êtres portées s’abreuvent d’un jour sans heure.
Du haut des Minarets, des
instruments à cordes atteignent l’infini.
Comme coton poussé vers
in tisserand, la semence gratifie le ciel.
La prière et l’émotion
font grandir le rêve.
Le contraste des couleurs
devient détails à prendre.
Un oracle de contes qui
laisse tourner le cœur.
La
mémoire d’une piste qui n’en finit pas de charmer.
©Jamila
Abitar
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